Narnia France

Voila ca veut dire quoi tout ca? D apres le titre un mag fait passer Rob' pour arrongant? Je peux comprendre un peu ce qu ils disent mais j ai pas le courage de tout traduire...si quelqu un peut nous resumer^^

Fresh From Charm School



It seems Robert was an arrogant boy....tsk tsk tsk lol

::Fresh from charm school
Fresh from charm school
(Filed: 27/11/2005)

Robert Pattinson steals the show - and the girl - as Harry Potter's handsome love rival at Hogwarts. Tom Shone meets the London schoolboy hailed as the next Jude Law

Oh, the pressures of your first film premiere at the tender age of 18! The rigours of shooting the new Harry Potter movie - battles with rampaging trees, chases through mazes, underwater duels - were as nothing for Robert Pattinson compared with the age-old conundrum of what to wear on opening night.
What's my motivation?: 'I went to drama school 100 per cent to meet pretty girls'

'I was actually having nightmares about it for months in advance,' says the young actor, who plays Cedric Diggory, the hunk of Hogwarts. So he went to Jasper Conran and picked out 'the most ridiculous, extravagant clothes - they looked really good in the shop. And then I put them on and I thought: you look such an idiot.'

On the night, he stepped from his limo to face 12,000 people and a barrage of flashbulbs. 'I was in a trance the whole way through it,' he remembers. 'The day before I was just sitting in Leicester Square, happily being ignored by everyone. Then suddenly strangers are screaming your name. Amazing.'

Pattinson's role in Harry Potter and the Goblet of Fire has been garnering standout notices, although he bridles, with endearing embarrassment, at the label 'heart-throb'. 'I read the Variety review and their only comment was "rangy". I thought it meant from the range, like a cowboy. But it just means tall and lanky.'

He is tall and lanky, as well as pretty enough to be Mick Jagger's sister: sitting down for coffee in a Tribeca diner, he displays that mixture of bashfulness and boldness that is the prerogative of 18-year-old movie-star foundlings.

When he met the director Mike Newell, during casting sessions for Harry Potter, he admits that he hadn't read any of the books or seen any of the films, but was in 'a really good mood' having just landed a part in a television version of the Ring of the Nibelungs, which was shooting in South Africa. 'I went in with this complete confidence,' he says. 'I was convinced I had it.'

Returning from the Nibelungs shoot, four months later, with the offer of Harry Potter in the bag, he sat down to take his A-levels with two weeks to spare, and landed himself an A and two Bs. 'I don't know how that happened. I didn't even know half the syllabus. I lost faith in the exam system at that point.'

This is recounted with all the breezy insouciance of youth, with just a touch of nervousness about whether the cockiness will get a laugh. He had a certain amount of edge knocked off him by the Harry Potter shoot. 'I've changed so much. I'm not nearly as cocky as I was,' he says. 'I was a real prat for the first month. I didn't talk to anyone. I just drank coffee and told everyone I was 24 and this famous theatre actor just back from South Africa.'
The thespian from South Africa was, in fact, a lad from west London who got into acting after he was out with his father one evening, at the Tootsie's hamburger joint in Barnes, and fell into conversation with some pretty girls at the adjoining table. He asked them what they did, they told him they were at the local drama school, and, with some paternal prompting, he signed up. 'It was a social thing. I literally went there 100 per cent to meet these girls sitting at the next table.'

A job as a stage manager led to a string of theatrical roles, and finally a small part in Vanity Fair, most of which hit the cutting-room floor. It was nothing compared with the physical labour of the Harry Potter shoot: a year of flying around massive sets, including a 60ft-deep pool and a maze with hydraulically operated hedges. 'My instinct at the end was just to sort of collapse. What I aim to do next is a really short shoot. A six-week thing where I can get my brain around the whole thing. A play or something.'

He admires the films of Jim Jarmusch, as well as the renegade auteurs of the 1970s, 'when you could just make a film for nothing. There's no reason why a film should cost 100 million. It's crazy. People will say, "We'll fly you out there to some country, pay for all your living expense, and then we'll pay you." You're just like: why? I'm not really sure what my point is … I don't want to be paid ever again! I hate money! I want to do anything for free!' 'No he doesn't,' pipes in his publicist, silent up to this point.

Next up is the New York premiere of Harry Potter, then Tokyo, and then back to LA for … for what, exactly?

'What am I doing in LA?' he asks.

'Meetings,' comes the gnomic reply.

'That's it. Meetings. I like meetings there a lot. You go in, no one cares if you're a nice person or not. You just do it, and if you can do it, you do it, and if you can't, you can't.'

He will, however, have to curb a few of his errant English ways. 'In England if you want to look rough, you go out and get really drunk and come in looking really hungover, but if you do that in America, it's like, "Have you got a drinking problem?"' His publicist nods. The boy is learning fast.
Source of this article :
Telegraph UK
Date of this item added :
2006-03-27

en fait il dit tout simplement qu'avant il etait qqn de suffisant, arrogant et hautain, mais que grace a ses experiences... tout va mieux ;) enfin.... tu sais deja tout lol!

voici la traduction de l'article c'est assez compréhensible mais bon, vite fait, ....

Il semble que Robert était un lol arrogant de tsk de tsk du garçon....tsk ::Fresh de l'école de charme fraîche de l'école de charme (classée : 27/11/2005) Robert Pattinson vole l'exposition - et la fille - comme Harry Traînent le rival beau d'amour chez Hogwarts. Tom a poli des rassemblements l'écolier de Londres grêlé comme prochaine loi de Judas Ah, les pressions de votre première première de film à l'âge tendre de 18 ! Les rigueurs de tirer le nouveau Harry Traînent le film - batailles avec saccager les arbres, chasses par des labyrinthes, duels sous-marins - étaient en tant que rien pour Robert Pattinson comparé à l'énigme historique de quoi porter la première. Ce qui est ma motivation ? : 'je suis allé à l'école de drame 100 pour cent pour rencontrer les jolies filles 'j'avais réellement des cauchemars à son sujet pendant des mois à l'avance, 'dit le jeune acteur, qui joue Cedric Diggory, le gros morceau de Hogwarts. Ainsi il est allé au jaspe Conran et a sélectionné 'les vêtements les plus ridicules et les plus exagérés - ils ont regardé vraiment bons dans le magasin. Et alors je les ai mis dessus et j'ai pensé : vous regardez un tel idiot.' La nuit, il a fait un pas de son limo aux personnes du visage 12.000 et d'un barrage des flashs. 'j'étais dans une transe la voie entière par elle, 'il se rappelle. 'le jour avant que j'aie été séance juste dans la place de Leicester, heureusement étant ignoré par chacun. Alors soudainement les étrangers crient votre nom. Stupéfier.' Le rôle de Pattinson en Harry Traînent et le gobelet du feu avait recueilli les notices hors concours, bien qu'il mette un frein, avec l'embarras attachant, à l'étiquette 'coeur-palpitent '. 'j'ai lu la revue de variété et leur seulement commentaire était "élancé". J'ai pensé qu'il a signifié de la gamme, comme un cowboy. Mais il moyens justes grands et dégingandés.' Il est grand et dégingandé, aussi bien qu'assez assez pour être soeur de Mick Jagger : s'asseyant pour le café dans un wagon-restaurant de Tribeca, il montre ce mélange de timidité et de hardiesse qui est la prérogative des enfants abandonnés de 18-year-old movie-tenir le premier rôle. Quand il a rencontré le directeur Mike Newell, pendant les sessions de bâti pour Harry Traînez, il admet qu'il n'avait lu aucun de ces livres ou n'avait pas vu aucun de ces films, mais était dans 'une humeur vraiment bonne 'ayant juste débarqué une pièce dans une version de télévision de l'anneau du Nibelungs, qui tirait en Afrique Du sud. 'je suis allé dedans de pair avec cette confiance complète, 'il dit. 'j'ai été convaincu que je l'ai eue.' Retournant de la pousse de Nibelungs, quatre mois plus tard, avec l'offre de Harry Traînent dans le sac, il s'est assis pour prendre ses Un-niveaux avec deux semaines aux pièces de rechange, et s'est débarqué A et deux Bs. 'je ne sais pas cela s'est produit. Je n'ai pas même su la moitié du programme. J'ai perdu la foi dans le système d'examen à ce point.' Ceci est raconté avec toute l'insouciance fraîche de la jeunesse, avec juste un contact de l'énervement environ si le cockiness obtiendra un rire. Il a fait frapper une certaine quantité de bord outre de lui par le Harry Pour traîner la pousse. 'j'ai changé tellement. Je ne suis pas presque aussi suffisant que j'étais, 'il dit. 'j'étais un vrai prat pour le premier mois. Je n'ai pas parlé à n'importe qui. J'ai juste bu du café et dit chacun m'étais 24 et cet acteur célèbre de théâtre juste en arrière l'Afrique Du sud.' Le thespian d'Afrique Du sud était, en fait, un jeune homme de Londres occidentale qui est entrée dans l'action après qu'il ait été dehors avec son père un égalisant, au joint de l'hamburger du tootsie's dans Barnes, et soit tombé dans la conversation avec quelques jolies filles à la table contiguë. Il leur a demandé ce qu'elles ont fait, elles lui a dit qu'elles étaient à l'école locale de drame, et, avec l'incitation paternelle, il s'est engagé. 'c'était une chose sociale. Je littéralement suis allé là 100 pour cent pour rencontrer ces filles s'asseyant à la prochaine table.' Un travail en tant que directeur d'étape a mené à une corde des rôles théâtraux, et finalement à une petite partie dans la vanité juste, laquelle ont frappé le plancher de découpage-pièce. Il n'était rien comparé au travail physique du Harry Traînent la pousse : une année de voler autour des ensembles massifs, y compris une piscine 60ft-deep et un labyrinthe avec les haies hydrauliquement actionnées. 'mon instinct à l'extrémité était juste à la sorte d'effondrement. Ce que je vise à faire après est une pousse vraiment courte. Une chose de six semaines où je peux obtenir mon cerveau autour de la chose entière. Un jeu ou quelque chose.' Il admire les films de Jim Jarmusch, aussi bien que les auteurs renégats des années 70, 'quand vous pourriez juste faire un film pour rien. Il n'y a aucune raison pour laquelle un film devrait coûter 100 millions. Il est fou. Les gens diront, "nous vous voleront dehors là à un certain pays, salaire pour toutes vos dépenses vivantes, et alors nous vous payerons." Vous êtes juste comme : pourquoi ? Je ne suis pas vraiment sûr ce qui est mon point... Je ne veux pas être payé toujours encore ! Je déteste l'argent ! Je veux faire n'importe quoi pour libre!' 'aucun il pas , 'siffle dans son publiciste, silencieux jusqu'à ce point. Après vers le haut de est-elle la première de New York de Harry Traînent-elles, puis Tokyo, et puis de nouveau à la LA pour... pour ce qui, exactement ? 'ce qui suis moi faisant en LA?' il demande. les 'réunions, 'vient la réponse gnomic. 'voilà. Réunions. J'aime des réunions là beaucoup. Vous entrez, unique soins si vous êtes une gentille personne ou pas. Vous la faites juste, et si vous pouvez la faire, vous la faites, et si vous ne pouvez pas, vous ne pouvez pas.' Il, cependant, devra limiter quelques unes de ses manières anglaises errantes. 'en Angleterre si vous voulez sembler rugueux, vous sortez et devenez vraiment ivre et venez en regardant vraiment le hungover, mais si vous faites cela en Amérique, elle est comme, "vous font obtenir un problème potable?" ' Ses signes d'assentiment de publiciste. Le garçon apprend rapidement. Source de cet article : Date BRITANNIQUE de télégraphe de cet article supplémentaire : 2006-03-27


voilà j'espère que vous avez compris
kisss