Narnia France

Chapitre IV : L'entraînement.


Caspian et les garçons étaient dehors en train de s'entraîner. En quelques heures, ils avaient bien progressé. Skandar fit un combat contre Caspian et William contre Mattéo puis on intervertit et Caspian combattit William et Skandar combattit son fils. Résultat du premier tour Skandar gagna contre Caspian et William gagna contre Mattéo et au second tour William perdit contre Caspian et Skandar se fit battre par son propre fils ! Lors d'une pause entre deux combats, nos quatres jeunes guerriers discutèrent et Caspian semblait être dans ses pensées, c'est William qui le tira de sa rêverie :

- Caspian, demanda-t-il. Vous allez bien ?

- Oui, je vais bien, répondit Caspian. Je suis juste dans mes pensées.

- Je vois ça, dit William. A quoi ou à qui pensez-vous ?

- Je vais peut-être vous paraître ridicule, dit Caspian en devenant rouge comme une tomate, mais je pense à Anna.

- Elle vous plaît, demanda Skandar

- Oui beaucoup, répondit Caspian. Est-ce que vous savez si elle a un petit copain en ce moment ?

- Elle n'en a pas, dit Mattéo. Mais nous avions remarqué, lorsque nous sommes venus ici que vous rougissiez tous les deux.

- Tu as raison Mattéo, dit Skandar. Lorsque nous nous sommes tenus par les mains pour ne pas nous perdre dans la fôret.

- Je suis désolé, fit Caspian. Je suis très timide.....


Tandis que les hommes parlaient encore, les filles, quant à elles, s'entraînaient au tir à l'arc et pour l'instant, celle qui faisait le plus de progrès, c'était Sarah ! Anna, Alice et Aurore ne savaient pas encore bien tenir l'arc comme il faut. Lorsque les nains décrètèrent une pause, elles n'étaient pas mécontentes.

- Ouf, soupira Alice. Je suis vannée !

- Moi aussi, firent Aurore et Anna en même temps

- Moi, dit Sarah. Je ne suis pas fatiguée.

- Tu peux parler, fit Alice en baillant. De nous quatres, c'est toi qui a fait le plus de progrès.

- Je sais, maman, dit Sarah. Dois-je te rappeler que je pratique le tir à l'arc à l'école ?

- Oui c'est vrai, j'ai oublié, fit Alice gênée.

- Dis moi Anna, dit Aurore en s'adressant à Anna

- Quoi, répondit l'intéressée

- Il te plaît Caspian, demanda à nouveau Aurore

Anna devint rouge comme une pivoine et répondit

- Euh, je ne vois pas de quoi tu parles

- Allez, fit Alice, ne fais pas ta timide. Caspian te plaît, ça saute aux yeux.

- A quoi vous avez vu ça, demanda Anna

- Tu rougissais quand vous vous teniez par la main, répondit Sarah

- Euh oui, c'est vrai, dit Anna.

- C'est vrai quoi, s'empressa de demander les trois autres.

- Ben, euh que Caspian me plaît, répondit Anna

- Tu vois ma petite Anna, dit Alice, on s'en doutait

- Ah bon, fit Anna

- Evidemment, s'exclama Sarah. Tu n'étais pas la seule à rougir, Caspian, lui aussi rougissait

- Je vais vous surprendre, les filles, dit Anna, je l'avais remarqué !


Les filles discutèrent encore un peu, puis l'entraînement reprit jusqu'au soir. Les garçons, eux aussi reprirent leur entraînement. Lorsque sonna l'heure d'arrêter, ils prirent un bon repas et nos amis racontèrent aux narniens leur vie en Angleterre. Tous finirent par s'endormir au coin du feu. Tous, sauf deux personnes, vous voyez de qui je veux parler, non ? Je veux parler d'Anna et de Caspian. Tous deux se rejoignirent au sommet de la colline :

- Bonsoir Anna, dit Caspian. Vous allez bien ?

- Bonsoir Caspian, répondit Anna. Je vais bien, merci. Et vous ?

- Très bien, dit Caspian. L'entraînement avec les garçons s'est bien déroulé et ils se débrouillent plutôt pas mal.

- Tant mieux, fit Anna en se rapprochant de Caspian.

- Anna, je..... commença Caspian.

- Oui, dit Anna

- Je voulais vous dire que je vous apprécie énormément, termina Caspian.

- Vous m'appréciez, s'émerveilla Anna. Je dois aussi vous avouer quelque chose.

- Ah bon, s'interrogea Caspian.

- Oui, répondit Anna. Vous me plaisez aussi beaucoup.


Anna et Caspian s'apprêtaient à s'embrasser, quand un bruit les interpella :

- Qu'est-ce que c'est, demanda Anna

- Ce n'est probablement rien, lui répondit Caspian en se rapprochant de plus en plus

Et sous le ciel de Narnia, Anna et Caspian joignirent leurs lèvres pour un tendre baiser.

Puis, tout doucement, ils se désserrent et Anna dit :

- C'était merveilleux, dit-elle

- J'ai trouvé ça aussi merveilleux, lui répondit Caspian. Si on se tutoyait, ce serait plus simple, non ?

- Si tu veux, fit Anna en rougissant.

Ils s'embrassèrent à nouveau, puis ils allèrent tous les deux se coucher. Le lendemain, les amis d'Anna (sauf Aurore et Skandar qui n'étaient pas encore réveillés) constatèrent qu'elle avait changé d'humeur.

- D'où vient ce changement d'humeur, demanda Sarah.

- Euh.... hésita Anna. Je ne vois pas de quoi tu parles, dit-elle ensuite devenant rouge comme une pivoine.

- Toi et Caspian, lui dit Alice. Vous sortez ensemble ?

- On peut rien te cacher, répondit Anna. Oui, Caspian et moi sortons ensemble !

- Quelle bonne nouvelle, dit William. Je te voyais malheureuse de ne pas avoir de petit copain. Car si on cherche bien, tu étais la seule à ne pas en avoir.

- Oh, William, réprimanda Alice. C'est méchant ce que tu as dit là.

- Laisses Alice, dit Anna. William a raison et ne t'inquiètes pas, il ne me voulait aucun mal. Il cherche juste à me taquiner ! Ca lui arrivait de le faire pendant le tournage du film où nous avons joué, je ne me souviens plus du titre ! Alors j'ai l'habitude !

- Oui mais quand même, fit Alice. C'est un peu méchant

- Rassures-toi mon ange, dit William en enlaçant sa femme, ce n'était pas méchant. Comme Anna vient de le dire, je n'arrêtais pas de la taquiner quand nous étions sur le plateau du film et de toute manière, ce n'était pas la seule que je taquinais, je faisais des petites blagues à Georgie et à Skandar.


En évoquant le nom de Georgie, plus personne ne parlait. Souvenez-vous, il y a 10 ans, Georgie quittait l'Angleterre pour aller vivre à Brisbane en Australie et nos amis n'ont plus eu de nouvelles depuis. Tous espéraient qu'elle allait bien.

- Elle me manque Georgie, fit Skandar prenant part à la conversation

- Oui, admit Aurore les yeux encore ensommeillés. Elle nous manque beaucoup.

- Vous croyez qu'elle va bien, demanda Alice

- Comme dit le proverbe, pas de nouvelle, bonnes nouvelles, répondit William. Je suis sûr qu'elle va bien.

Tout à coup, ils entendirent une voix derrière eux, c'était Caspian


- Bonjour, dit Caspian

- Bonjour, firent nos amis en choeur.

- Comment allez-vous, demanda Caspian. Vous avez bien dormi ?

- Oui, répondit Alice. Et vous-même ?

- Comme un loir, lui répondit Caspian. Et toi, mon rayon de soleil, dit-il en se dirigeant vers Anna et en l'enlaçant....

- Euh, dit Aurore en rigolant, on a loupé un chapitre là ?


Et là tout le monde se mit à rire tellement la situation était rigolote !

- Caspian et moi sortons ensemble, répondit Anna en reprenant son sérieux.

- Formidable, s'exclama Aurore. Depuis quand ?

- Hier soir, répondit Caspian. Nous nous sommes avoués l'un et l'autre que nous avions des sentiments.

- Cette nouvelle, mon prince, lui dit Cornélius, me comble de bonheur.

- Merci, Cornélius, répondit Caspian. Anna ferait une bonne reine.

- Attends Caspian, je ne veux pas être reine de Narnia, s'exclama Anna. J'ai une vie en Angleterre !

- Je sais ma puce, répondit Caspian. Je suis destiné à être le roi de Narnia mais......

- Mais quoi.....s'empressa de dire Cornélius

- Je laisserais mon trône à quiquonque le voudra, dit Caspian.

- Votre Majesté, vous ne pouvez pas faire ça, rétorqua Cornélius.

- Si, lui répondit Caspian et je le ferais. Je sais qu'avec Anna, on ne sort ensemble que depuis hier mais je suis convaincu que c'est la femme de ma vie.

- Caspian, fit Anna, tu ne peux pas renoncer à ton trône pour moi, que vont penser les Narniens ?

- Ecoutes Anna, lui répondit Caspian, je t'aime et je ferais n'importe quoi pour ne pas te perdre et si tu devais retourner en Angleterre je ne le supporterais pas.

- Moi aussi, je t'aime Caspian, dit Anna et ce que tu m'as dit là est une preuve d'amour que personne ici ne pouvait imaginer.

- Qu'il en soit ainsi, fit Caspian. Lorsque mon oncle Miraz et ses Telmarins seront vaincus, je laisserais mon trône à quelqu'un et ce quelqu'un je sais où je peux le trouver.

- Ah oui, s'interrogea Anna et qui est-ce ?

- Tu ne devines pas, demanda Caspian.

- Non, répondit Anna

- Lorsque j'ai rencontré Alice, dit Caspian, je lui ai parlé d'une prophétie très ancienne selon laquelle une jeune fille aux cheveux d'or et un jeune garçon faisant des farces, viendraient à Narnia pour y vaincre mon oncle et ainsi ramener la paix à Narnia.

- Et ces deux personnes, sont Sarah et Mattéo, demanda Anna.

- Exact, répondit Sarah qui était derrière eux. Et si il faut que je sois reine de Narnia, eh bien je serais reine de Narnia si Mattéo en était le roi.

- Sarah, non, se désola ses parents

- Ecoutez, dit Sarah en se tournant vers ses parents, je vous aime et je vous aimerais toujours, il vous faut me laisser voler de mes propres ailes.

- Ce que tu dis là Sarah, fit William en séchant les quelques larmes qui coulaient de son visage est magnifique. Alors je respecte ta décision.

- Merci papa, dit Sarah en serrant son père dans ses bras. Maman, dit-elle en se tournant vers Alice qui pleurait, maman s'il te plaît, ne pleures plus.

- Si William a respecté ta décision, alors je la respecterais aussi, dit Alice en reniflant

- Maman, fit Sarah. J'ai 26 ans maintenant, j'ai vécu toute ma vie avec les personnes que j'aime le plus, toi et papa, Tante Aurore et Tonton Skandar, Tante Laura et Anna et Georgie que je n'ai pas eu la chance de connaître assez bien puisqu'elle est partie lorsque j'étais encore une enfant. A présent, il faut que je vives ma propre vie.

- Je comprends ma puce, dit Alice. Ca va être dur de te laisser mais tu as raison, tu es grande maintenant et tu es capable d'être autonome. Je suis sûre que tu feras une bonne reine.


A ces mots, la mère et la fille se rejoignirent et les deux jeunes femmes éclatèrent en sanglot devant des Narniens stupéfaits de voir une telle scène. Il y eut ensuite un long moment de silence puis Caspian reprit la parole.

- Bien, voilà qui est bien parlé, dit-il. Il vous faut en parler à Mattéo, dit-il en s'adressant à Aurore et Skandar.

- Comptez sur nous, Votre Majesté, répondit Skandar. Pour nous aussi, ça va être dur de laisser notre fils ici, mais il a 25 ans maintenant et je suis sûr qu'il fera un excellent roi pour Narnia.

- Parfait, dit Caspian. Il nous faut reprendre l'entraînement à présent, nous attaquerons le château de Miraz demain dans la nuit.


L'entraînement reprit jusqu'au lendemain matin.

mose2, continue, elle est trop bien ^^

Oui elle est vraiment bien !

Elle est toujours aussi bien Mose2, continues comme cela

Merci beaucoup pour tous les commentaires ! Ca me réchauffe le coeur déjà si fragile

woooah c super romantique merci Mose2 ça a bien avancé, ils sont déjà ensemble, ça veut dire qu'ils vont bientot se marier???? on en saura plus sur Georgie?
en tout cas bravo c excellent

amy745 à dit :
woooah c super romantique merci Mose2 ça a bien avancé, ils sont déjà ensemble, ça veut dire qu'ils vont bientot se marier???? on en saura plus sur Georgie?
en tout cas bravo c excellent

Malheureusement, je n'ai pas prévu de faire revenir Georgie. . J'ai prévu de faire marier Anna et Caspian mais dans un autre chapitre.

Mose2 à dit :

amy745 à dit :
woooah c super romantique merci Mose2 ça a bien avancé, ils sont déjà ensemble, ça veut dire qu'ils vont bientot se marier???? on en saura plus sur Georgie?
en tout cas bravo c excellent

Malheureusement, je n'ai pas prévu de faire revenir Georgie. . J'ai prévu de faire marier Anna et Caspian mais dans un autre chapitre.

Vraiment bien ta fic'!!!!

Chapitre V : Le raid


Après avoir mangé de très bonne heure, nos amis se couchèrent tôt. Vers 2 heures du matin, Caspian alla réveiller tout le monde :

- Alice, William, dit-il en murmurant, il faut se lever.

- Quoi, déjà, répondit la voix ensommeillée d'Alice.

- Oui, dit Caspian. Venez vite, je vais aller réveiller Aurore et Skandar ainsi que Sarah et Mattéo et Anna.


Tandis qu'Alice et William s'habillaient, Caspian alla réveiller Aurore et Skandar. Là même scénario que pour les deux autres, Aurore et Skandar avaient du mal à sortir du lit ! Skandar fit même un signe comme quoi il voulait rester au lit mais il se résigna à se lever. Même chose pour Sarah et Mattéo et Anna. Lorsque tout le monde fut levé et habillé, chacun prit un bon bol de café bien chaud. Puis avec une poignée de Narniens armés jusqu'aux dents, nos amis se dirigèrent vers le château de Miraz.

- Bon, voici ce que nous allons faire, chuchota Caspian. Les Narniens, guidés par Ouragan iront se poster à chaque entrée du château. Nous, continua-t-il en s'adressant à nos amis anglais, nous irons rendre une visite surprise à Miraz.

- Très bien, Monseigneur, dit Ouragan. Soyez prudents.

- Ne vous en faites pas, répondit Caspian, je serais prudent.


Après les dernières recommandations, chacun prit son poste. Les Narniens assomèrent les gardes et les ficellèrent bien. Pendant ce temps là, nos amis ainsi que Caspian étaient arrivés au niveau de la chambre de Miraz, tout doucement, Caspian ouvrit la porte de la chambre, puis sortit son épée du fourreau et la planta dans le cou de son oncle qui se réveilla :

- Le ciel soit loué, dit Miraz d'un ton sarcastique, tu es sauf.

- Debout, hurla Caspian. Miraz s'éxécuta et se mit debout et réveilla aussi sa femme la reine Prunaprismia

- Quoi, fit celle-ci la voix ensomeillée. Puis quand elle vit son neveu, elle dit, Caspian, qu'est-ce que tu fais ?

- Reste où tu es, ordonna Caspian.

- Très bien, fit Prunaprismia. J'obéis à tes ordres.

- Quant à toi, dit Caspian en se tournant vers son oncle, je veux une explication

- Laquelle, demanda Miraz en tournant légèrement la tête, il découvrit que sa femme avait pris une arbalète.

- Pose ton épée, Caspian, dit-elle en pointant l'arme vers son neveu, ne m'oblige pas à faire ça.

- Ne nous y obligez pas non plus, dit Sarah qui venait d'entrer dans la chambre avec ses parents, "son oncle" et "sa tante", Mattéo et Anna.

En voyant tout ce monde, Miraz prit peur :

- Qui êtes-vous, demanda-t-il aux nouveaux venus et que venez-vous faire ici.

- Permets moi de te présenter William, Alice, Sarah, Aurore, Skandar, Mattéo et Anna, répondit Caspian, ils viennent d'une terre loin d'ici pour m'aider dans ma tâche.

- Laquelle est-ce, demanda Miraz.

- Ne fais pas l'ignorant, vociféra Caspian, Tu sais très bien de quoi je veux parler.

- Non, je ne vois pas de quoi tu parles, pesta Miraz.

- TU AS TUE MON FRERE, hurla Caspian.

- C'est pour ça que tu es venu jusqu'à nous, demanda Prunaprismia

- Oui, répondit Caspian. Pourquoi serais-je venu si ce n'est pas pour venger la mort de mon frère ?

- Je ne sais pas, dit la reine toujours l'arbalète pointée sur son neveu. Tu as osé t'en prendre à Matthew, continua-t-elle en s'adressant cette fois-ci à son mari.

- Il le fallait, dit Miraz, il devenait trop gênant pour la succession au trône.

- Matthew était mon frère, criait Caspian. On ne s'entendait peut-être pas très bien mais c'était mon frère et je l'aimais.

- Caspian, dit Anna, je t'en prie, le fait que Miraz ait tué ton frère n'arrangera rien, ça ne le ramenera pas.

- Je sais, admit Caspian. Mais il doit payer. Alors tu es avec moi.

- Bien sûr, dit Anna.


Puis sans qu'on lui dise quoi que soit, Anna tira une flèche, qui n'atteignit pas Miraz, mais Prunaprismia qui tenait toujours l'arbalète tira une flèche en direction de Caspian. Celle-ci se loga dans le bras de Caspian qui hurla de douleur. Alice, se précipita vers Caspian pour l'aider. Anna voulut décocher une autre flèche mais avant qu'elle ne puisse tirer, elle se retrouva prisonnière des mains de Miraz.

- Anna, criait Caspian, noooooooooooooonnnnnn !!

- Tu fais un pas de plus, sale morveux, et je la tue, dit Miraz qui se dirigeait vers une porte apparemment secrète.


Caspian ne broncha pas et vit la femme qu'il aimait avec celui qu'il détestait le plus au monde, son oncle. Comme la reine Prunaprismia avait crié, tout le château se réveilla.

- Vite, sortons, prévient Caspian. A cause des cris de ma tante, les autres gardes ont été alertés.

- D'accord, dit William.


Nos amis et Caspian sortirent de la chambre puis ils coururent dans l'enceinte du château où déjà les Narniens combattaient avec bravoure. Ils se joignirent à eux et la bataille faisait rage. Il y eut de nombreuses victimes autant du côté Narniens que Telmarins. Caspian sonna la retraite et tout le monde sortit.

TU GERE,j'adore

Voici le troisième chapitre de notre grande fic' commune à tchoumi et moi. J'espère que cela vous plairas.

Chapitre 3


-Comment va-t-il ? demanda Georgie à la femme de chambre

-Il est encore un peu assommé mais il devrait se réveiller dans peu de temps maintenant

-Je l’espère

-Ne vous inquiétez pas. On va le monter dans sa chambre. Vous serez plus tranquille.

Georgie s’approcha de Skandar pour lui faire un bisou sur le front. L’infirmière rentra à ce moment-là et dit à Georgie : « Je vais vous faire votre bandage pour votre cheville ». L’infirmière fit un bandage à Georgie qui ne cessait pendant ce temps de regarder si Skandar se réveiller. Annette demanda si Skandar pouvait rejoindre sa chambre. L’infirmière répondit affirmativement. Toutes deux soulevèrent Skandar et l’emmenèrent dans sa chambre qui se trouvait au bout d’un long couloir lumineux au papier peint vert recouvert de tableaux représentant des paysages somptueux ? Il s’agissait sans nul doute de forêts, de montagnes et de plaines narniennes. Georgie qui les suivait derrière était en admiration devant ces magnifiques œuvres. Elles posèrent Skandar sur le lit de la chambre de ce dernier. Quelques minutes après celui-ci ouvrit les yeux, au grand bonheur de Georgie qui ne put s’empêcher de montrer un énorme sourire de joie.

-Où suis-je ? demanda celui-ci

-Comment te sens-tu ? répondit celle-ci

-J’ai mal à la tête mais à part ça, ça va. Mais où suis-je donc ?

-Tu es à Narnia, tu te rappelles ?

-Oui, ça me revient vaguement, on a fait la connaissance d’un faune.

-Tout à fait, et on a gravi une falaise

-Dont tu as failli te rompre les os si je me souviens bien…

-Euh oui, effectivement, sourit Georgie

-Je me souviens qu’après, je t’ai vu emprisonnée puis après j’ai senti un grand choc sur la tête mais après plus rien…

-C’est là que tu as été assommé par un autre garde

-ll n’y a pas été de main morte dit Skandar en touchant le sommet de son crâne avec un large sourire mi amusé-mi sérieux

-Mon pauvre Skandar

-Oh, elle en a vu d’autres, dit-il amusé, bon ça me dit toujours pas où nous sommes ?

-Nous sommes dans un château dit-elle

-Un château ‼ ‼ ‼ ‼ ?????? Quel château ? dit-il en écarquillant les yeux

-Oui, c’est le château du père du jeune homme qui m’a amené ici, il est charmant, il m’a aidé à marcher jusqu’ici

-Pour quelle raison ?

-Ah, je ne te l’ai pas dit, je me suis tordue la cheville, quand le garde m’à jeter sur le sol

-Et c’est maintenant que tu me le dis ?

-Ben…

-C’est très gentil de sa part. Où est-il que je le remercie ? Il s’appelle comment d’ailleurs ?

-Je ne sais pas, j’ai complétement oublié de lui demander, je vais voir où qu’il est…

Pendant que Georgie était sortie chercher le jeune homme, Skandar commençait à s’inquiéter pour son propre état de santé… Pendant la conversation, il avait l’impression d’entendre une voix à travers son esprit…. Comme s’il entendait les pensées de Georgie… « Ce coup sur la tête m’a rendu fou », se disait-t-il

Georgie revint à ce moment-là, et voyant Skandar pensif, lui demanda :

-Tout va bien, Skandar ?

-Oui, oui j’étais assoupi… Alors où est-il ce mystérieux sauveur ?

-Il s’est absenté, m’a dit Annette, la femme de chambre, il sera de retour à 18 heures pour le dîner, il en profitera pour se présenter, je suppose…

-Très bien dit Skandar je vais en profiter pour me reposer un peu

-A tout à l’heure, dit Georgie en rejoignant sa chambre qui se trouve en face de celle de Skandar.


18 heures venait de sonner dans la grande horloge du hall d’entrée du château. La sonnerie qui résonna dans tout le château parvenu jusqu’aux oreilles de Skandar qui n’avait pas réussi à se reposer vraiment, étant trop inquiet sur ce qu’il lui arrivait à lui et à Georgie. Il se sentait mieux et décida donc de se mettre debout. Georgie, qui se trouvait donc la chambre en face de celle de Skandar, sortit au même moment.

-Comment va mon cher frère ? lui demanda-t-elle tout sourire

-Bien, comme tu vois, je me suis levé

-Tu aurais dû attendre que je sois là, imagine que tu sois tombé ?

-Ma chère sœur je suis encore capable de me lever seul de mon lit, vous ne trouvez pas ? dit Skandar en se moquant gentiment

-Oui peut-être dit Georgie en riant

Annette arriva à ce moment-là et trouva Georgie et Skandar en train de rire aux éclats.

-Je vois que nos deux malades semblent aller beaucoup mieux

-Je crois oui, dit Skandar en souriant, mais je dois dire que je commence à avoir faim

-Moi aussi, dit Georgie

-Ça tombe bien, je venais justement vous prévenir que le repas était prêt et que Monsieur vous attend

-On arrive tout de suite, répondit Georgie enchantée de revoir ce jeune homme

-Moi je voudrai bien le voir aussi pour le remercier d’avoir aidé ma sœur qui se trouvait dans un état critique, dit Skandar en s’amusant

-On vous suit, dit Georgie à Annette

Ils arrivèrent tous trois après avoir traversé le couloir des chambres et le salon principal, dans une grande salle couverte d’une tapisserie rouge avec toujours de somptueux tableaux représentant des paysages magiques. Une grande table en bois était dressée recouverte d’une nappe blanche avec des symboles royaux à chaque coin. Un repas assez conséquent était disposé. Quatre chaises étaient mises mais une était déjà occupée par le mystérieux sauveur.
« Je vous attendais, prenez place, je vous prie » dit celui-ci avec un large sourire. Georgie s’installa sur la chaise en face du jeune homme et Skandar choisit celle qui se trouvait à côté de Georgie. A même moment, une jeune fille aux cheveux châtains et aux magnifiques yeux marron entra dans la pièce. Elle regarda les deux visiteurs d’un air surpris puis s’installa sur la seule chaise disponible, celle qui se trouvait en face de Skandar. Celui-ci ne put s’empêcher de lui faire un sourire.

-Bien, maintenant que presque tout le monde est au complet, je vais pouvoir faire les présentations. Voici Eliana ma sœur adoptive, et je me prénomme Alex.

-Enchantée de vous connaître, répondit Georgie. Je suis Georgie et voici mon frère Skandar

-Ravi de faire votre connaissance, dit Alex. Quelle est la raison de votre venue dans ces lieux ?

-Et bien en réalité, nous nous chamaillions et puis à force de courir, j’ai fini par apercevoir un château. N’est-ce pas Skandar ? Skandar… tu m’écoutes ?

Skandar qui était absorbé par Eliana n’écoutait pas ce que disait Georgie.
-Oui, oui effectivement

-Il faut l’excuser, il est un peu perturbé, dit Georgie en riant à Alex

-C’est ce que je vois répondit Alex d’un sourire

-Non, non çà va très bien répondit Skandar, mi amusé-mi sérieux

- On ne dirait pas dit Eliana d’un ton très sérieux

Ces paroles eurent pour effet de faire régner le silence dans la salle.

-Bon si on commençait à manger ?, dit Alex pour détendre l’atmosphère
-Avec plaisir, dit Skandar, je meurs de faim !

L’entrée qui était composée de crudités fut mangée en très peu de temps. L’appétit de nos deux amis n’eut aucune pitié pour elle ! Au moment de commencer à manger le plat principal, Georgie demanda à Eliana:

-Votre père ne mange pas avec nous ?

Eliana ne répondit pas.

- Non, malheureusement, répondit Alex, il reste dans sa chambre cloîtré. Il se méfie de tout le monde.

-C’est triste, répondit Georgie, cette histoire de traître le perturbe

-Oui, il soupçonne tout le monde. Même moi son propre fils. Et encore plus Eliana.

-Pourquoi ?

-Car Eliana a été adoptée par mon père lorsqu’elle était bébé

- Je vois, répondit Georgie.

-Je ne peux lui en vouloir, j’agirais pareil à sa place.

-Le faune que j’ai rencontré tout à l’heure, Lury, m’a parlé d’un objet que les Oragans voudraient ?

-C’est exact mais je ne peux vous révéler pour l’instant de ce qu’il s’agit, c’est trop important

-Je comprends, répondit Georgie. Tu n’es pas très bavard dit-elle en s’adressant à Skandar

-Non non, je vous écoute parler

En réalité Skandar était en train de réaliser qu’il pouvait lire dans les pensées. Et cela n’était lui faisait une drôle d’impression. Et il venait de se rendre compte d’une chose, les sentiments que ressentait Georgie envers Alex était très fort. Georgie était amoureuse de lui. Et cela il ne le supportait pas ! Il était jaloux ! Sa petite sœur était amoureuse, ce n’était pas possible ! Et pourtant…

Ils étaient arrivés au dessert et la conversation entre Georgie, Skandar et Alex allait bon train et chacun apprenait à connaître l’autre. Georgie se disait : « Je crois que je suis amoureuse d’Alex… c’est un sentiment magique… » D’un seul coup 20 heures sonnât à la grande horloge du salon.

-Déjà ? dit Georgie, le temps en votre compagnie passe vraiment vite

-Merci, je vous retourne le compliment, répondit Alex légèrement gêné

-Je suis complétement exténué, dit Skandar, j’ai hâte d’aller dormir

-Il est vrai que votre journée était assez mouvementé, dit Alex

-Je ne peux pas dire le contraire, ria Skandar

Ils se levèrent tous les quatre et se dirigèrent vers le salon qui se trouvait à côté.
Skandar regarda Eliana et il remarqua que c’était la seule avec qui il ne pouvait lire dans les pensées.
Cela l’intriquait car il doit dire qu’il aurait bien voulu savoir ce qu’elle pouvait penser de lui…

-Je vous souhaite une bonne nuit, dit Alex aux deux visiteurs mais avec un regard appuyé sur celui de Georgie

-Bonne nuit Alex, répondit Georgie en le regardant avec un beau sourire.

-Bonne nuit dit Skandar à Alex. A vous aussi Eliana, en esquissant un sourire

-Bonne nuit répondit assez froidement la belle Eliana

Ils se dirigèrent vers le couloir qui menait à leurs chambres. Skandar demanda à Georgie non sans une certaine malice :

-Il est gentil n’est-ce pas cet Alex ?

-Oh oui, très, répondit-elle

-Tu l’aimes bien ?

-Pas spécialement, pourquoi dis-tu ça ? Je le connais à peine !

-Non non, comme ça

-Allez bonne nuit grand frère, lui dit-elle en l’embrassant sur la joue

-Bonne nuit petite sœur, et ….fais de beaux rêves

-Toi aussi.

Ils se dirigèrent tous deux dans leurs chambres et fermèrent en duo leur porte.


Voilà ! N'hésitez pas à dire votre avis !

Mais c'est... C'est... Trop géniiiiiaaaaal!!!!

Chapitre VI : La libération d'Anna.


Fatigués par la nuit qu'ils venaient de passer, nos amis n'osaient pas parler de ce qui leur était arrivé. Anna était prisonnière de Miraz et personne ne savait si elle était encore en vie.


- Tout ce qui est arrivé est à cause de vous, s'écria William

- Mais non, s'indigna Caspian. C'est Anna qui a voulu tirer une flèche, je ne l'ai pas poussée.

- Vous auriez du l'en empêcher, cria William. Elle ne serait pas fait enlever sinon.

- Je reconnais, j'ai fait une erreur, répondit Caspian. Elle a tiré une flèche pour me sauver, pour cela, je ne dois pas la laisser tomber.

- Je suis d'accord avec vous, admit William. Pardon de vous avoir crié dessus.

- Ce n'est rien, dit Caspian. Vous la connaissez bien Anna ?

- Oui, répondit William. Nous nous sommes connus il y a longtemps et nous sommes devenus très proches.

- Très proches, interrogea Caspian.

- Ne vous inquiètez pas, dit William, je ne vais pas vous la piquer. Et puis, n'oubliez pas que je suis marié !

- Oui, c'est vrai, répondit Caspian. Pardon.

- Pourquoi vous excuser Caspian, demanda Alice qui suivait la conversation de son mari et de Caspian.

- J'ai laissé Miraz s'emparer de la femme que j'aime, désespérait Caspian.

- Oui, je comprends, dit Alice. Mais vous n'aviez pas le choix, il vous aurait tué.

- Je sais, dit Caspian. Comment faire pour la libérer maintenant ?

- Il n'y a pas d'autre moyen que de retourner au château de Miraz, suggéra Mattéo.

- Au risque de me faire tuer, dit Caspian au bord des larmes.

- Vous voyez un autre moyen, demanda William.

- Non, je n'en vois aucun, répondit Caspian.

- Bien, dit Mattéo. Voici ce que nous allons faire, Caspian, Tante Alice, maman et Sarah vous resterez ici. Quant à moi, papa et oncle William nous irons au château délivrer Anna.

- Attendez, fit Caspian. Je connais le château par coeur, il vous faut un guide.

- Très bien, dit Mattéo, vous venez avec nous. Votre bras, ça va aller ?

- Ne vous inquiétez pas, répondit Caspian. Tout ira bien.

- Bon, faisons un autre entraînement pour pouvoir être prêts pour ce soir, dit Mattéo.

- Pourquoi c'est toi qui commande, demanda Skandar à son fils,

- Je suis destiné à en être le roi, répondit Mattéo. Et Sarah sera ma reine. Je suis curieux que toi et maman ne m'en ayez pas parlé, continua-t-il.

- Avec tout ce qui s'est passé, nous avons effectivement oublié de te prévenir mon fils, dit Skandar, gêné.

- Ce n'est pas grave, papa, fit Mattéo. Maintenant, allons nous entraîner.

Tandis que les garçons allèrent s'entraîner, Alice, Aurore et Sarah discutèrent de la nuit qu'elles venaient de passer :

- Dis maman, demanda Sarah.

- Quoi, répondit l'intéressée.

- Ils vont réussir à la délivrer Anna, dit Sarah.

- Bien sûr, fit Alice. Tu connais ton père et ton "oncle", ils ne laisseraient jamais Anna toute seule. Depuis le tournage de ce fameux film, ils ont formé une petite famille avec Georgie.

- J'ai peur qu'il lui arrive quelque chose, dit Sarah.

- Ne t'en fais pas Sarah, fit Aurore. Il ne lui arrivera rien.


Les filles restèrent encore de longues minutes à discuter puis les garçons revinrent de leur entraînement et ils étaient éreintés. Après avoir mangé un copieux repas, tous se couchèrent tôt. Dans la nuit, Mattéo, Skandar, William et Caspian se levèrent discrètement afin de ne pas réveiller les filles et tous sortirent dans le froid de Narnia et se dirigèrent vers le château de Miraz où Anna était retenue prisonnière. Au début, tout se passait bien, les garçons tuèrent beaucoup de soldats telmarins. A la fin, William se prit une flèche dans la jambe et dans le bras.

- William, cria Skandar.

- Ne vous inquiètez pas pour moi, dit William. Allez délivrer Anna.

- Je reste avec toi, fit Mattéo.


Tandis que Mattéo gardait William, Caspian et Skandar se dirigèrent vers la prison. Arrivés sur place, ils assommèrent les gardes qui étaient postés à l'entrée de la cellule d'Anna.

- Anna, appela Caspian

- Oui, dit une voix faible à l'intérieur de la cellule.

- Anna, c'est nous, Skandar et Caspian, fit Skandar.

- Vous êtes venus me sauver, demanda Anna

- Oui, mon coeur, répondit Caspian qui essayait de trouver la bonne clé.


Après plusieurs minutes à chercher, Caspian réussit à trouver la clé et ouvrit la cellule d'Anna, laquelle se précipita dans les bras de son amoureux.

- Caspian, dit-elle en se dirigeant vers son sauveur.

- Ma belle Anna, dit Caspian en refoulant ses larmes. Qu'est-ce qu'il t'a fait subir ?

En effet, Anna avait de multiples blessures au visage.

- Ce n'est rien, le rassura Anna. Je suis contente de vous voir ! Vous êtes que tous les deux ou d'autres personnes étaient présentes ?

- William et Mattéo nous ont accompagnés, répondit Skandar.

- Où sont-ils, demanda Anna.

- William a été blessé à la jambe et au bras, dit Caspian. Mattéo est resté à ses côtés le temps que nous venions te délivrer.

- William est blessé ?!, s'exclama Anna. Comment va-t-il ?

- Il va bien, rassures-toi, lui dit Skandar. Allons les rejoindre. Tu vas réussir à te lever ?

- Je pense que oui, dit Anna en essayant de se lever. Aaaaah ! Ma jambe ! Elle me fait horriblement mal.

- Bon, on va y aller doucement, fit Caspian. Appuies toi sur moi.


Avec l'aide de Caspian, Anna se releva. Puis Caspian, Skandar et elle rejoignirent Mattéo et William qui les attendaient impatiemment. Quand il vit Anna, William ne put se retenir de la serrer dans ses bras. Mais c'était difficile autant pour l'un que pour l'autre, tous deux étant blessés à la jambe.


Le jour était bien avancé lorsqu'ils arrivèrent au campement. Alice, Aurore et Sarah se précipitèrent vers Anna pour la serrer dans leurs bras. Pendant un moment, ils ne dirent rien puis Alice brisa le silence :

- William, William, où es-tu ?

- Ici, mon ange, répondit William soutenu par Skandar et Mattéo.

- Mon Dieu, cria Alice. Que t'es-t-il arrivé ?

- On m'a tiré dessus, répondit William. Deux flèches sont venues se loger l'une dans ma jambe et l'autre dans mon bras. Mais rassures-toi je vais bien.

- Je t'emmène à l'infirmerie, fit Alice.

- Attends, dit Aurore, je t'accompagne, il faut aussi soigner les blessures d'Anna.

- Très bien, assura Alice.

Tandis qu'Alice et Aurore allaient à l'infirmerie, Mattéo, Skandar et Caspian racontèrent à Sarah, les circonstances de la libération d'Anna. Mattéo profita de cet instant pour demander quelque chose de particulier à Sarah :

- Sarah, fit Mattéo

- Oui, répondit l'intéressée

- J'ai quelque chose à te demander, rétorqua Mattéo.

- Quoi, dit Sarah.

- Sarah Julie Moseley, veux-tu me faire l'honneur de devenir ma femme, demanda Mattéo.

- Mattéo Keynes, répondit Sarah, je serais ravie de devenir ta femme.

Et sous les yeux émus de Skandar et de Caspian, nos deux jeunes tourtereaux s'embrassèrent. Lorsqu'Alice, Anna et William revinrent de l'infirmerie, Mattéo leur dit la nouvelle que nos amis accueillirent avec énormément d'enthousiasme.

Une petite histoire avec Narnia et un mélange des 4400 :
Chapitre 1 Une nouvelle vie

Peter et Lucy se retrouvent propulsés dans le futur en 2030 aprés avoir vu une boule de lumière blanche.

Nadya une jeune mère en foyer en couple et un enfant se retrouve aussi propulsé dans le futur en 2030 c'est uniquement la jeune femme qui se retrouve dans le futur (pas le conjoint ni l'enfant)

Et d'autres ...
Comment:
Nadya faisait une balade avec son fils dans la pousette , le petit Jérémy ne sait pas qui reverra sa mére que 20 aprés sans avoir pris une ride. Nadya voit soudain une boule de lumière et elle disparait.

(Aprés la dernière bataille) Lucy avait apércue quelque chose d'étrange une gigantesque boule de lumière qui cachait le lampadaire, elle alla avertir ses fréres mais Edmund dormait encore (c'est le matin) mais Peter prenait son petit déj à la cuisine du château, Peter suivie Lucy et soudain lorsque Peter voyait la lumière en même temps que Lucy, ils se tenaient la main (car pour eux c'etait comme dans la magie) et ils disparaissaient.

2030 le futur: des voitures éléctronique qui volent à ras du sol d'autres volent, des villes avec des écrans immense, des jeux vidéos virtuelles (avec un casque en rentre carrément dans le jeux), des cyberdomestiques, des cyborgs, des écrans accroché au mur pour télé, lorsque l'on téléphone on voit directement la tête de son interlocuteur dans tout les gsms, les pc, ect..

Des agents de la CIA remarquent dans le journal télévisé que une énorme boule de lumière est arrivé et que nos amis Peter et Lucy se trouvaient dans cette boule de lumière.

Les revenants se sont retrouvé en quarantaine et c'est là que Nadya rencontre Peter et Lucy. Nadya parle beaucoup de son fils. Ils se demandent ce qui leur est arrivé. "Je suis né en 1927 et ma soeur en 1930 dit Peter à Nadya" "Quoi mais vous avez l'âge de mes grands parents dit Nadya" Mais vous avez plûtot l'air d'avoir 20 ans redit
Nadya Peter veut garder contacter avec Nadya "Vous reverrez un jour lorsque l'on aura quitter cet endroit dit Peter à Nadya. Cette dernière lui donne son numéro (elle avait son sac quand elle a disparu)

Ensuite les agents de la cia viennent les voir un par un ensuite ils partent chacun (tous les 4400) mais soudain Nadya dit à Peter et Lucy j'ai été heureuse de vous avoir rencontré. La famille et les proches des 4400 les attendent ;
Nadya retrouve un jeune homme de 20 ans qui est en réalité est son fils, elle le remarqua car il ressemble beaucoup à son conjoint , elle l'a même cru que c'était le pére de son fils. "Maman dit Jérémy" "Frédéric où est Jérémy dit Nadya. "Non, je ne suis pas papa c'est moi Jérémy dit Jérémy. Et c'est en parlant avec son fils qu'elle comprit qu'elle était dans le futur. "C'est dingue, tu n'as pas pris une ride, tu es resté jeune depuis que j'étais bébé dit Jérémy.

Pour Peter et Lucy personne ne les attendait: "Personne n'est venu ne chercher" dit Lucy "Il y'a surement une explication" dit Peter

"ca me fait tout drôle que tu sois adulte" dit Nadya à son fils
Nadya remarqua Peter et Lucy triste: "Viens je vais te presenté mes nouveaux amis à moi" dit Nadya à son fils

Et les présentations se faisaient mais Peter et Lucy trouvaient bizarre que Jérémy était le fils de Nadya, ils sont même cru que c'était son frére ou son mari.

Nadya va habiter chez son fils mais Peter et Lucy ont nulle part où aller en attentant ils cherchent à savoir ce qui s'est pas passé pour Susan et Edmund. Ils ont compris que Edmund est resté à Narnia et ils cherchaient Susan.

En se promenant dans la ville tout leur parraisaient étrange , ils retournérent voir Nadya.
"Il y'a une femme qui parle dans un écran, des voitures sans roues, on a pas un sou et on doit retrouvé notre soeur pouvez-vous nous aider Nadya vous venez du futur l'an 2010" dit Peter
"Jérémy on utilise toujours des euros en 2030 ? dit Nadya
"OUi bien sur lui répondit-il
"Tout d'abord on va acheter le journal et va utiliser internet pour retrouver Susan" dit Nadya

Ils achetérent le journal et Lucy et Peter ont fait des grands yeux lorsque ils ont vu la date sur le journal.
"C'est cool on est dans le futur encore plus de techologie" dit bêtement Nadya

"2030 Susan est surement morte" dit Peter
Nadya cherche la rubrique nécrologique sur internet pour retrouvé Susan. Peter et Lucy ne connaissaient pas internet et Nadya devait leur apprendre à se servir d'un ordinateur.

"Elle est bien décédée et elle est enterré en Angleterre" dit Nadya. Les ordinateurs sont plus sophistiqué et plus rapide en 2030.
"Il faut qu'on aille en Angleterre voir la tombe de Susan " dit Peter

"Il faut que vous venez avec nous Nadya on est perdu dans le futur dit Lucy
Ok répond Nadya

A Suivre...

Édité par Mamannadia le 25/01/2011 à 22:53

sympa ce melange !

Puisque plus personne s'intéresse à ma fiction, je vais l'effacer dès demain.

Mose2 à dit :
Puisque plus personne s'intéresse à ma fiction, je vais l'effacer dès demain.

NON ! moi je l'aime tellement que j'ai un dossier dessus sur mon ordi et je mets les chapitres dedans au moment ou tu les mets sur les forums

Mose2 à dit :
Puisque plus personne s'intéresse à ma fiction, je vais l'effacer dès demain.

Non, franchement elle super ta fic mose2, continue vraiment

Non faut pas arrêter ta fic' Mose2 ! Elle est vraiment bien.
Continues !

Alors pourquoi plus personne ne la lit ?? Ca me fait énormément de mal quand je ne vois pas d'avis. Je galère déjà pas mal à l'écrire et voilà le résultat. 1 seul avis sur l'avant-dernier chapitre. Je fais quand même gaffe à la poster le soir car en journée, c'est pas sûr que j'ai des avis, je sais que la plupart sont en cours, j'étais pareille à une époque....