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Bonjour !
D'après une idée originale de PeterV, nous nous sommes lancés dans une fanfiction collective de Narnia, sous forme de RPG. Le premier chapitre n'est que la présentation de nos personnages, la suite viendra sous forme de RPG. Pour ne pas troubler l'écriture, je vous conseille de reporter vos commentaires et idées pour la suite dansce topic. Sur ce... Bonne lecture ! Chapitre 1 Les enfants perdus Il y a des années, huit enfants ont changé l’histoire d’un monde. On les appelait Polly, Digory, Peter, Susan, Lucy, Edmund, Eustache et Jill. Aujourd’hui, ces enfants ont vieilli, et sont morts. Mais d’autres sont nés, depuis. Ils vont prendre la relève. Nous allons vous raconter leur histoire. Mais tout d’abord, laissez-nous vous les présenter… Hélène de Saint-François est née un matin de novembre, un matin froid et brumeux. Sa mère s’en souvient très bien, car ce jour-là, les premiers flocons étaient tombés, et la jeune femme avait cru ne jamais parvenir à la maternité à temps. Durant toute son enfance, Hélène, surnommée Léna fut une fillette sage et réservée, qui préférait s’isoler et penser que courir et jouer. Fille unique, elle était chouchoutée par ses parents, mais aux abords de l’adolescence, elle se détacha peu à peu d’eux, vivant toujours dans une sorte de monde à part, où peu de gens parviennent à pénétrer. "Léna" est un surnom affectif que peu de gens utilisent : la jeune fille n’est pas très sociable, et possède peu – ou pas – d’amis. Calme, douce, sensible et intelligente, elle est un cerveau avant d’être une force. Avec sa frêle carrure, Léna est bien loin d’effrayer quiconque, et elle le sait bien : elle est souvent une proie pour les caïds de son collège. Tout comme son caractère, son physique est discret : petite, très mince, elle a de beaux yeux oscillant entre le vert et le gris, et des boucles brunes, avec de jolis reflets roux. Pourtant, elle n’est pas spécialement jolie – du moins pas aux standards habituels, puisqu’elle n’a jamais eu de petit ami. Sa bouche mince et son nez légèrement retroussé complètent son visage à la peau étonnamment pâle – "blanche comme un cul" aiment se moquer ses camarades. Elle a souvent les doigts tâchés d’encre, car elle aime écrire plus que tout – à part peut-être s’évader dans son monde imaginaire – mais développe une sérieuse allergie aux ordinateurs, encore l’une de ses excentricités que lui reprochent les adolescents dits "normaux". Prudence Spark est née sous le beau soleil du mois de Juillet, dans la Banlieue de Férec en France. Elle n’a pas eu une enfance très facile, pas du tout même. Son père est parti de chez elle et l’a abandonnée alors que Prudence n’avait que 2 ans. Comme vous l’avez compris Prudence a vécu seule avec sa mère toute sa vie. Elle n’a pas d’amis, pas parce qu’elle ne sait pas s’en faire mais parce que vu le manque d’argent que sa mère a, elle du lui offrir l’école au bas de gamme si je puis dire. Les enfants là-bas sont odieux et méchants. Ils la traitent avec un surplus de méchanceté que je ne saurais vous décrire. Prudence est par contre d’une beauté incomparable. Sa bouche est pulpeuse et parfaitement dessinée. Ses yeux sont en forme d’amande et son nez est petit mais simplement parfait. Elle est assez pâle mais pas trop. Ses cheveux sont bruns et légèrement bouclés ce qui fait ressortir encore plus ses yeux de couleur noisette. Cette beauté elle la tient de sa mère, qui, l’élevant toute seule, lui donne tout l’amour possible qu’une enfant puisse recevoir. Prudence vit dans une espèce de bulle. Rêveuse et détachée complètement du monde réel, elle s’imagine vagabondant dans un monde très différent. Elle est assez réservée, très réservée même. Mais sa mère sait que dans un environnement différent, sa fille pourra retrouver sa personnalité (qui est tout à fait charmante d’ailleurs) et la dévoiler au grand jour. Voila pourquoi, vu que sa mère voit sa fille être triste de plus en plus, de jour en jour, elle décide de mettre de l’argent de coté pour l’envoyer à Londres dans une école d’un meilleur niveau. Morgane Pendragon, 14 ans, est blonde aux yeux bleus. Elle a eu une vie difficile, car elle est orpheline. Elle a vécu toute seule jusqu'à ses 14 ans. Elle a vécu toute seule mais elle demandait au gens de se réfugier et si quelques uns acceptaient, ce n’était pas le cas de tous. Ses parents sont partis en l'abandonnant près d'une maison, car ils ne pouvaient plus payer leurs factures et dettes. Agée de douze ans elle décida, de revenir ou ses parents l’avaient abandonné et la maison était vide. Elle habita donc dans cette maison, jusqu’à ses quatorze ans, lorsqu’elle reçut une lettre provenant du ministère de l'éducation, qui lui demandait de rejoindre un regroupement de jeunes. Elle n’eut pas le choix, et dût s’inscrire à ce regroupement, une sorte de colonie de vacances. Là-bas, elle s’intégra à une bande parmi d’autres. Gwendoline Ganbaru est une jeune fille de 17 ans assez autoritaire et à première vue un peu effrayante à cause de son caractère qu’elle tient de sa mère. Et même si elle ne le reconnaîtra jamais elle sait bien qui lui arrive de s’emporter un peu trop violemment. Surtout quand on dérange ses affaires. Par contre elle a le physique de son père. Grande aux yeux vert foncés. Elle a de longs cheveux bruns légèrement ondulés. Elle vit avec ses parents et sa petite sœur Léa. Quand elle était petite elle dirigeait tout le monde à la baguette, plus ou moins gentiment selon son humeur et les efforts qu’était prête à faire sa petite sœur pour la supporter. Elle n’a jamais déménagé et vas donc dans le même collège/lycée depuis son entrée en 3éme. Elle à un meilleur ami du nom de Arthur beaucoup plus réservé qu’elle mais un plus gentil. C’est lui qui se charge de dire aux gens que Gwen vient d’envoyer balader qu’en fait « elle ne faisait que plaisanter ». Il arrive à Gwendoline de discuter avec d’autres élèves de la classe mais c’est rare. Arthur et le seul avec sa petite sœur Léa qui la connaisse vraiment bien. Ils savent qu’au fond Gwendoline est une personne généreuse au grand cœur. Marie et Vincent Pryvensier, âgés de 14 ans, sont jumeaux. Ils ont tous les deux les cheveux châtains, l'une aux yeux bruns et l'autre aux yeux bleus. Ils vivent dans une petite maison non loin de leur collège. Débordants d'imagination, chaque jour en allant et en revenant du collège, ils s’imaginent que leur profs sont des créatures, tels des furies, des minotaures, des harpies, trolls… Mais ce sont des élèves modèles à qui l’on peut faire confiance. Ils ont du mal à se faire des amis, quand ils parlaient des exploits de leurs rêves, où ils combattent les profs de maths, de français ou d'anglais. Cela avait commencé quand leur père leur avait acheté un livre d'aventures. Ils avaient huit ans. Ils le réécrivaient en se mettant dans les histoires. Ils étaient des héros aux yeux de toute la famille mais des zéros aux yeux pleins de moquerie de leurs camarades d'enfance. Swann Le Noire est une jeune fille de dix-sept ans, née dans la ville de Dinan en Bretagne. C'est la benjamine d'une famille de trois enfants, elle a deux frères répondant aux noms de Gaspard et d'Aramis. C'est une personne assez complexe, mystérieuse et difficile à cerner. En effet plusieurs personnalités semblent s'affronter en elle et il est difficile de prévoir ses réactions. Swann fait partie d'une famille plutôt aisée et a bénéficié de cours de piano, d'équitation et d'escrime. Elle aime d'ailleurs répéter à qui veut l'entendre, qu'elle était un pirate ou un mousquetaire dans une vie antérieure. C'est une jeune fille qui aime montrer de quoi elle est capable et elle déteste avoir tord. Elle à également développé un fort esprit de compétion et est une mauvaise perdante. Elle peut paraître quelque peut superficielle et arrogante avec son côté « je sais tout » et « regardez-moi », mais c'est également un véritable boulet. Les maladresses font partie de son quotidien et il semble qu'elle n'ait honte de rien. Difficilement intimidable, elle a du répondant et déteste se faire marcher sur les pieds. Téméraire et passionnée, la demoiselle voue un culte à l'art peut importe sa forme (de préférence la musique et la littérature) et aux anglais. C'est un personnage décalé qui ne semble trouver sa place nul part, mais pas associable pour autant. Swann à d'ailleurs beaucoup d'amis, même si avoir sa confiance n'est pas une chose aisée (plutôt méfiante), d'autant plus qu'elle aime tout contrôler. On sait également qu'elle a un faible pour son voisin Ulysse, un anglais de dix-sept ans. Elle tombe facilement amoureuse et c'est d'ailleurs son talon d'Achille. Elle est de taille moyenne et plutôt mince. Elle a de grands yeux marron, un grain de beauté sous l'œil droit, des cheveux bruns – presque noirs – coupés dans un carré asymétrique et une mèche bleue. Son teint est hâlé et elle porte des lunettes. Ulysse Greek est âgé de 17 ans. Il a quitté l'Angleterre à l'âge de 9 ans. Il habitait une petite maison dans le Surrey avec ses parents et sa sœur Thalie son aînée de deux ans. C'est d'abord avec regrets qu'il quitte Kingswood, et il a du mal à s'intégrer à l'école primaire. En effet lorsqu'il arrive en France, il ne parle pas un mot de français. Grâce à sa voisine Swann, il apprend très vite la langue et de véritables liens d'amitié se nouent entre les deux enfants. A l'âge de 13 ans les deux amis s'éloignent petit à petit au point de devenir presque deux inconnus. Ulysse est un garçon très populaire, il a conscience de son charme ravageur qui a brisé un nombre inimaginable de cœurs. Il semble hors de portée. C'est un garçon superficiel, qui aime voir les filles à ses pieds. Il choisit ses amis en fonction de leur popularité. C'est un adolescent amer, méprisant et égocentrique. Mais est-ce le réel Ulysse ? Y a-t-il quelque chose de bon au fond de lui ? La relation qu'il entretient avec Swann est très étrange, elle se constitue principalement de brefs regards et ils ne se parlent que très peu. C'est un bon joueur de polo qui joue de la guitare à ses heures perdues en composant quelques chansons poétiques. Il est grand, musclé. Ses cheveux sont blonds et ondulés, et ses yeux sont bleus. Une petite cicatrice marque son visage sur sa pommette droite dont il cache son origine réelle. Un beau mec a toujours un rival. Toujours. Celui d'Ulysse Greek s'appelle Dimitri Droski, et s'il n'a pas la touche British du bel anglais, il a quand même le charme russe qui l'a poussé dans le top des élèves de son lycée. Sans cesse en concurrence avec Ulysse, ils entretiennent pourtant parfois de sains rapports, et savent s'entendre lorsqu'ils peuvent en tirer un avantage. Dimitri est arrogant, prétentieux, et pourtant, à part son physique, il n'a guère de quoi se vanter. La famille de son père a fui l'URSS, pro-tsar et aristocrate russe, a fuit l'URSS stalinienne pour la France, où ils pensaient être bien accueilli en raison de leur rang. Que nenni ! La France, alors en pleine première guerre mondiale, ne les avait guère acceptés et ils avaient un instant, songé à retourner en Russie sous un autre nom. L'arrière-grand-père de Dimitri, alors jeune homme, était tombé amoureux d'une française, et il refusa tout net de rejoindre son pays natal. Ses parents repartirent sans lui, et il épousa cette jeune fille, prenant également la nationalité française. Malgré l'éloignement, il reçut un gros héritage de ses parents, mais son propre fils dilapida cette fortune au jeu. Voilà pourquoi aujourd'hui, Dimitri vit dans une famille relativement défavorisée, endettée, et qu'il soupçonne aussi d'avoir emprunté de l'argent à la Mafia. Pourtant, Dimitri, âgé de 17 ans, s'en sort bien. Il est beau, il est "charmant" comme disent les parents de ses multiples conquêtes. En apparence poli et bien élevé, il plaît toujours à ses belles-familles qui font lui régulièrement des dons. Il sait que ça ne lui servira pas éternellement, mais ça ne lui donne pas envie de se mettre au boulot pour autant – tant qu'il peut compter sur son physique pour réussir, il le fera. Parce qu'avec ses grands yeux verts, sa bouche bien dessinée et ses boucles brunes, Dimitri en fait craquer plus d'une, et brise bien des cœurs. Il est même persuadé que sans Ulysse, les filles seraient encore plus à ses pieds. Plus jeune, il avait été « amoureux » (enfin, autant que l'on puisse l'être à douze ans) d'Hélène de Saint-François. Il ne l'avait jamais assumé, et c'était en partie ce qui lui faisait sans cesse martyriser la pauvre jeune fille, qui avait bien du mal à comprendre ce qui lui arrivait... Dimitri a est très intrigué sur les rapports entre Ulysse et sa voisine, Swann, et il est persuadé qu'il y a quelque chose entre ces deux là. Actuellement, son but est de faire éclater cette relation au grand jour. Et s'il n'y a pas de relation actuelle... Il compte bien en mettre une en place. Alexis Adamson a quatorze ans. Il est né le 24 décembre dans la maison de sa grand-mère. Sa mère est morte peu après sa naissance, et son père est mort dans un accident de train à Londres. Alexis a été élevé par ses grands-parents. Il a les cheveux blonds mi-longs, les yeux bleus clairs, son visage est très pâle. Il n’est très beau, ni spécialement moche. Il n’a pas beaucoup d'amis mais suffisamment pour être heureux. Il adore l'art et le foot, mais est incapable de se débrouiller en informatique ou latin, langue qu’il a commencé a étudier seulement après la mort de ses grands-parents lorsque sa tante Marielle l’a inscrit dans une école privée française. EDIT Et voici le Chapitre 2 L’arbre Le bus roulait à pleine vitesse le long de la route anglaise. Accompagné des chants, des rires, des cris de joies de ses occupants, il filait le long de la campagne britannique, verdoyante et luxuriante. Le soleil régnait dans le ciel et le chauffeur et les animateurs espéraient sincèrement que le beau temps allait durer. Ils devaient visiter Londres le lendemain, et n’avaient que moyennement envie de devoir courir à tout bout de champ pour chercher un abri afin d’échapper aux gouttelettes. A l’arrière du bus, les jeunes étaient surexcités. Londres, enfin ! Pour la plupart d’entre eux, ce serait la première fois qu’ils fouleraient le sol de cette ville mythique. Ils étaient pour le moment au niveau du bois qui encerclait un petit village au sud de Londres. Dans une heure à peine, ils seraient enfin dans la capitale. Quelques filles gloussaient déjà à l’idée de visiter la demeure du prince William. Soudain, après un virage serré, l’autobus s’arrêta brusquement. Les chants et jeux se stoppèrent aussitôt, et ceux du fond tendirent le cou pour mieux voir ce qui se passait à l’avant. Le chauffeur remplaçant sorti, resta à l’extérieur quelques instants, puis entra et murmura quelques mots à l’oreille de l’une des animatrices. Celle-ci se leva, et s’éclaircit la voix dans une toux discrète. « Les enfants, pas de panique, commença-t-elle. Nous venons d’avoir un petit problème technique avec le bus, et nous allons devoir nous arrêter un peu, jusqu’à ce qu’on nous envoie de quoi le régler. – Quel genre, de problème ? demanda haut et fort un garçon au physique avantageux. – Un pneu a crevé, Dimitri, et si tu pouvais t’exprimer sur un ton moins dédaigneux, nous t’en serions reconnaissants, rétorqua la femme avant de reprendre un ton plus amical. Les enfants, nous vous autorisons à sortir du bus tant que le problème n’est pas réglé. Malheureusement, si cela prend trop de temps, nous serons obligés de passer la nuit ici, et pas à Londres. Ne vous éloignez pas trop ! » Dimitri marmonna quelque chose que l’animatrice n’entendit pas, et se tourna vers un autre beau garçon, blond aux yeux bleus. « Ne vous éloignez pas, et cætera, et cætera, hein, Greek ? Ce genre de recommandations, ça me donne exactement envie de faire le contraire. J’emmène Swann faire un tour, tu nous couvres ? » Sans attendre de réponse, il saisit la main de la fille assise à côté de lui. Swann Le Noire était sa petite amie depuis quelques semaines, et s’il y avait des hauts et des bas dans leur relation, il était très attaché à elle. Même si à son goût, elle regardait un peu trop Ulysse Greek. Comme ils y étaient autorisés, il l’entraîna hors du bus, et serrant sa main droite dans la sienne, il lui désigna le bois d’un signe de tête. « On va visiter ? » Ils vérifièrent qu’ils n’étaient pas suivis, puis s’enfoncèrent sous les arbres. Il faisait frais dans le sous-bois, et les branches filtraient la lumière et faisaient danser des taches colorées sur le sol. Dimitri s’arrêta, et posa un doigt sur les lèvres de Swann. « Ecoute… » Un calme absolu régnait dans la forêt. On entendait courir un petit ruisseau, et un rossignol chantait. Les deux adolescents se regardèrent, Dimitri sourit. Il ne regrettait absolument pas de s’être enfoncé sous ces arbres, et espérait simplement qu’il pouvait faire confiance à Ulysse pour cacher leur escapade. S’il avait su ce qui allait se produire quelques instants plus tard… A vous de jouer maintenant ;D Édité par Pyrz le 09/06/2012 à 12:24 "Check the gate, whaaat's up ?" |
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Swann s'était endormie une heure plus tôt, et était plongée dans un sommeil sans rêve. Ce n'est pas l'arrêt soudain du bus qui la réveilla, mais le son de la voix de Dimitri :
– Quel genre, de problème ? Elle ouvrit doucement les yeux et s'étira. – Un pneu a crevé, Dimitri, et si tu pouvais t’exprimer sur un ton moins dédaigneux, nous t’en serions reconnaissants, rétorqua la femme avant de reprendre un ton plus amical. Les enfants, nous vous autorisons à sortir du bus tant que le problème n’est pas réglé. Malheureusement, si cela prend trop de temps, nous serons obligés de passer la nuit ici, et pas à Londres. Ne vous éloignez pas trop ! » La jeune fille regarda par la fenêtre : un bois bordait chaque côté de la route. « Ne vous éloignez pas, et cætera, et cætera, hein, Greek ? Ce genre de recommandations, ça me donne exactement envie de faire le contraire. J’emmène Swann faire un tour, tu nous couvres ? » Bien sûr qu'elle avait envie de sortir, elle commençait à avoir chaud et elle avait besoin de respirer un air plus pur, elle en avait assez de l'air recyclé de la climatisation du bus, mais demander à Ulysse de les couvrir n'était pas un bonne idée. Swann fixa son ancien ami, il l'a regarda droit dans les yeux soutenant son regard, aucun des deux ne voulant céder. Cet évènement ne dura qu'une poignée de secondes, car déjà Dimitri avait saisi la main de sa petite amie, l’entraînant dehors. Elle respira une grande goulée d'air et sourit, ça faisait du bien d'être à l'extérieur. Ils s'approchèrent du bois. « On va visiter ? » « Plutôt deux fois qu'une !» S'exclama Swann un sourire enjoué collé aux lèvres. Les deux adolescents jetèrent un rapide coup d'oeil vers le bus, personne n'était descendu après eux. Ils pénétrèrent dans la forêt, et parcourent quelques mètres avant de s'arrêter. Le garçon posa don index sur les lèvres de Swann. « Ecoute… » Ils s'étaient immobilisé sous un merisier. L'adolescente regarda le soleil qui filtrait jouer dans les boucles brunes de Dimitri. Le garçon lui sourit. Swann rougit et remonta ses lunettes. Oui, elle était bien contente d'être sortie du bus, et espérait que les réparations de ce dernier allaient prendre du temps. |
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pour les vacances, Marie et Vincent avaient emmené leur livre. Pendant tout le trajet, il l'ont lu et relu mais a leur maniere. Un choc les fit s'interroger. Il descendent du bus et voient les moniteurs autour d'un des pneu du bus. Ils ecouterent la moitié de la conversation entre Dimitri et l'une des animatrice. Ils voulurent en connaitre plus et suivirent Dimitri qui est parti dans la foret avec Swann.
"-Non vincent il faut que tu me couvre tu sais que je suis meilleure que toi en filature. -Oui mais moi je suis meilleur que toi lorsqu'il faut trouver une cachette donc je viens avec toi ou je previens l'animatrice; contredit son frere. Ils allerent ensemble dans la foret. de temps en temps, le couple s'arreta pour etre sur que personne ne les suit. Les deux jumeaux entendirent des bruits derriere eux ils se disent que se sont des lapins mais non c'etait leur camarades de bus accompagnée d'une autres jeune fille qu'ils ne connaissaient pas... Quand aslan montre ses crocs l'hiver meurt aussitot lorsqu'il secoue sa belle criniere le printemps rechauffe la terre Tous ceux que nous avons connu Mr tumnus Mr et Mme Castor ne sont plus la |
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Pendant que Dimitri et Swann vagabondaient dans les bois , heureux et amoureux ,ils étaient toujours "espionnées" par les jumeaux . Dans le bus , une autre atmosphère régnait , les jeunes étaient tout excités .
L'animatrice décida de les faire sortir du bus pour se dégourdir les jambes . La petite troupe sortie donc pour faire connaissance chacun avec les autres . Soudain une jeune fille arriva . La troupe la remarqua assez vite pour ses jolis cheveux blond . Directement des critiques divulguere . Elle s’avançât timidement et se présenta . Prudence s’avança vers elle , et de sa voix douce et mélodique , lui demanda son prénom ... |
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Léna était, comme à son habitude, restée seule dans son coin, au milieu du bus. Elle ne prenait pas part aux chants et aux rires, et tentait de retenir ses larmes.
Elle haïssait ses parents, d’avoir décidé de l’envoyer en colonie, et elle les haïssait d’autant plus d’avoir choisi celle-ci. L’Angleterre, très bien, Londres, parfait, les animateurs, compétents, mais les autres enfants… Il y avait Dimitri Droski et Ulysse Greek, par exemple. Ceux-là martyrisaient Hélène depuis le collège, et au vu du regard mauvais qu’ils lui avaient jeté à l’entrée dans le bus, ils allaient lui faire passer un été d’enfer. Alors que le car défilait dans la campagne anglaise, elle fut presque rassurée de le voir s’arrêter subitement à l’orée d’un bois. La voix d’une des animatrices dont Léna n’avait pas retenu le nom, résonna dans les haut-parleurs. Un pneu avait crevé. Autorisés à sortir du bus tant que le problème ne serait pas réglé, les adolescents descendirent du véhicule, et certains commencèrent des jeux. Léna remarqua soudain la disparition de Dimitri et Swann. Elle espéra un instant qu’Ulysse les avait accompagnés, mais il était toujours là, mêlé au reste du groupe. En revanche, les jumeaux – Vincent et Marie, si Léna avait bien retenu – avait disparu eux aussi. Dès le début, ils avaient semblé un peu curieux et touche-à-tout aux yeux d’Hélène, et elle n’aurait pas été surprise de savoir qu’ils avaient suivi les deux amoureux. Hésitante à rejoindre les autres, la jeune fille les observa de loin, et vit alors deux filles se détacher de la bande. Prudence, la belle brune, et une blonde dont Léna était incapable de se souvenir du nom. Mais peut-être était-ce parce qu’elle ne la connaissait pas… Car la blonde dégageait un air sauvage, un peu étranger, et elle ne faisait sûrement pas partie de la colonie. Néanmoins, les deux filles avaient une aura de sympathie, et Hélène décida de se diriger vers elles. « Prudence, c’est bien ça ? Je m’appelle Léna. Enfin, Hélène, mais Léna, j’aime mieux. Tu… Tu me présentes ton amie ? » Les présentations faites, Hélène désigna le bois aux deux autres. « Il y en a qui sont partis par là. Je me demande ce qu’il y a… J’irais bien voir, mais j’ai un peu peur. On demande aux autres de nous accompagner ? » Elle marqua une pause, et enchaîna. « Je ne sais pas vous, mais je serai rassurée si un des garçons nous accompagnait. » "Check the gate, whaaat's up ?" |
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Alexis c'est réveillés quand il a vu que personne n'étais dans le bus.Il est sortie est a vu q'un pneu étais crevé.
Alexis ne connaisse personne il étais très angoisse d'être seule et ne savait pas qoui faire. Il n'a pas compris pourquoi sa tante la mis dans cette colonie de vacance il a vu deux fille parle de quelque chose sans qu'il écoute tout.Alexis voulait parle avec quelque' un mais il n'avait pas le courage de le faire alors il a espère que quelque'un venait parle avec lui. |
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Apres que les trois jeunes filles eut fient connaissance , elles décidèrent de se rendre dans la foret pour voir ce que mijoter les autres qui y étaient déjà partit depuis déjà une bonne demi-heure .
Mais Prudence voyait sur le visage fin de Léna ( sa nouvelle amie ) un peu d'inquiétude . Prudence essaya donc de la rassurer et de la mettre en confiance car elle était d'une gentillesse et d'un courage inouïe . "Ne t’inquiète pas Léna , rien ne va nous arriver nous n'avons qu'a suivre leur trace ! Je reste a cote de toi si tu le désire !" Édité par Narnia632 le 10/06/2012 à 16:45 |
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Gwendoline descendit du bus avec nonchalance et en soufflant. Quel poisse décidément. Etre bloqué en plein milieu d'une route de campagne déserte avais tendance à lui rappelais un film d'horreur particulièrement déplaisant que l'avez obligé à regarder son ami Arthur, partie en voyage en Allemagne pour les vacances.
Etant asses grande par la taille, Gwendoline fixa les alentours à la recherche de camarade de classe avec qui elle avais commencé à discuter dans le bus. Elle aperçue à l'orée du bois, Ulysse Greek entourée comme à son habitude, d'une bande de groupie affolé. Gwendoline fit la grimace avant de remarquer Hélène de Saint François et Prudence Spark discutait avec une fille qu'elle ne connaissait pas. Gwendoline les observa un moment en essayant d'écouter leur conversation, mais son attention fut attirer par les jumeaux, Marie et Vincent qui s'enfonçaient dans les bois, un air malicieux sur leur visage. Gwendoline, appuyer contre le bus, les regardaient s'éloigné en s'imaginant quelle punition la monitrice de la colonie leur réserverais quand elle s'apercevrait de leur départ, quand elle sentit quelqu'un s'appuyer à son tour à côté d'elle. Elle détourna la tête. -"L'anglais" pensa t-elle. ( Pour Narnia, je ne sais pas si ton personnage et Anglais, ou d'origine ou si il à juste vécu là-bas un temps, tu pourrais m'éclaircir s'il te plait) Elle décida alors d'entamer la conversation ne voulant pas paraître trop grossière. - Alexis, c'est ça? demanda t-elle en se tournant vers le jeune garçon blonds. Moi c'est Gwendoline. Soudain, Alexis fronça les sourcils, et Gwendoline l'imita quand elle aperçue le groupe des trois fille se précipitaient à la suite des jumeaux, dans la forêt. - Qu'est-ce qui leur prend à tous, bougonna Gwendoline. Tu viens, on vas voir de plus prés. Elle entraîna Alexis avec elle. Je sais c'est asses long mais j'espère que ça plairas. Je n'est jamais fait de RP alors si un truc ne vas pas dites le moi!! Soit dit en passant, je trouva ça asses dur d'écrire un dialogue quand on ne peut faire parlez qu'un seul personnage... Édité par Mlle47 le 17/06/2012 à 15:07 |
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Emma sortis du bus pour faire connaissance avec les autres; surtout vers les beaux garcons. Il y en avait un qui lui plaisait mais celui la etait partis avec une autre filles qu'elle commencait deja a hahir. ce garcon c'etait Dimitri. Elle partis dans la foret juste derriere les jumeaux. Elle eu peur d'un lapin et cria. Il y avait un groupe de personne derriere elle et les jumeaux l'a regardaient avec un rgard noir. Mais il n'y avait pas qu'eux qui l'avait ecouté le couple aussi. Emma perdit tous controle sur elle quend ele vis le beau et charmnt Dimitri Droski. Mais des qu'elle vit Swann lui tenir la main elle se depecha de se refugier pour pleurer. Elle s'arreta vers un arbre a deux troncs et les autres l'a rejoignis.
Pour Narnia et Pour Aslan hurla Peter avant d'attaquer |
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Maintenant vous pensez peut-être que l'animatrice - qui s'appelait Sophie Princesse - était nulle qui n'avait pas remarqué combien qui s'étaient déjà éloigné du groupe. Mais en réalité ...
Édité par hansgeorg le 07/07/2012 à 17:25 |
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l'animatrice est restée au bus et on en reste la on va bintot entrer dans Narnia avec ce fameux arbre donc au revoir l'animatrice
Quand aslan montre ses crocs l'hiver meurt aussitot lorsqu'il secoue sa belle criniere le printemps rechauffe la terre Tous ceux que nous avons connu Mr tumnus Mr et Mme Castor ne sont plus la |
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Pourqoui on ne fait plus rien
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